Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Eversheds Sutherland ?

Pour la qualité des Avocats parisiens. Pour l’étendue de son réseau qui s’est encore développé aux Etats Unis et permet d’offrir à nos clients une couverture mondiale avec un point d’entrée proche d’eux.

Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?

J’ai commencé par une collaboration auprès d’Avocats aux Conseils, avant l’époque du mail et du mark up, en écrivant à la main sur le bureau de celui qui avait défendu Dreyfus et Zola. J’ai ensuite rejoint un très beau Cabinet parisien, Rambaud Martel, qui m’a permis de développer une pratique plus dynamique du droit de la construction et du droit public. Nous avons fusionné avec Orrick. J’ai participé au lancement de Wragge à Paris, et j’ai ensuite rejoint Eversheds Sutherland.

Qui a le plus influencé votre carrière ?

Certainement les clients qui me font confiance depuis longtemps.

Quel est votre meilleur souvenir dans votre carrière ?

Ceux qui vont arriver ! L’avantage de cette profession est sa mutabilité. Le droit public est aujourd’hui sorti de son pré carré traditionnel et embrasse de multiples activités : jeux, énergies, discipline de différents intervenants…

Quels sont vos domaines de compétences ?

Droit de la construction et droit public principalement.

Quelles sont, selon vous, les actualités marquantes de ces dernières semaines dans ces secteurs d'activité ?

Certainement la relance à venir de l’investissement public avec une crise des finances publiques qui redynamisera les PPP ou donnera naissance à de nouvelles formes de contrats Public/Privé. C’est en filigrane dans le programme d’En Marche.

Qui conseillez-vous ?

Des entreprises partenaires des personnes publiques. De grands constructeurs.

Quels sont vos objectifs pour ce cabinet ?

Développer nos activités en France et internationalement.

Propos recueillis par Arnaud Dumourier (@adumourier)
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