Les juges du fond ont estimé que le juge de premier ressort avait, à bon droit et par des motifs exacts et pertinents, considéré que ce prénom n’était pas "conforme à l’intérêt de l’enfant". En effet, ce prénom, étant celui d'un personnage caricatural de bande dessinée, est de nature à attirer les moqueries en raison de la grande popularité du personnage en France depuis plusieurs années. En outre, l’association du prénom Titeuf au personnage de pré-adolescent naïf et maladroit risque de constituer un réel handicap pour l’enfant tout au long de sa vie, "tant dans ses relations personnelles que professionnelles". Les parents se sont pourvus en cassation.© LegalNews 2017 - Stéphanie BaertAbonné(e) à Legalnews ? Accédez directement à tous les compléments
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