Cabinet Fréget – Tasso de Panafieu : interview des fondateurs

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Olivier Fréget et Charlotte Tasso de Panafieu, fondateurs du Cabinet Fréget – Tasso de PanafieuLe Monde du Droit a interviewé Olivier Fréget et Charlotte Tasso de Panafieu, fondateurs du Cabinet Fréget – Tasso de Panafieu, nouvelle structure, spécialisée en droit de la concurrence et de la régulation.

Pourquoi avez-vous décidé de créer votre cabinet spécialisé en droit de la concurrence ?

Nous avons décidé de créer ce cabinet avant tou tpour répondre aux besoins exprimés par nos clients, dont les intérêts sont au cœur de nos décisions. Pour partir de leur demande et adapter notre offre, nous avons souhaité mettre en place une structure souple et libérée des conflits d’intérêts. Notre idée est de fédérer, dossier par dossier, les spécialistes correspondant le mieux à chaque problématique de nos clients.

Nous pensons en effet que les nouveaux outils de communication permettent aujourd’hui de coordonner aisément des équipes indépendantes,de dimension et de contour variables, en fonction des dossiers, des besoins et des budgets de nos clients.

Quel est votre positionnement sur le marché ?

Notre expertise est très spécialisée, tant dans le type de droit que nous pratiquons que dans les secteurs dans lesquels interviennent nos clients, qui sont pour la plupart des secteurs régulés et techniques.

Nous proposons ainsi une offre de conseil stratégique en concurrence, fréquemment axée sur le contentieux. Notre ambition est de permettre à nos clients de s’inscrire dans une logique de concurrence par les mérites, quitte à bousculer les positions établies.

Quels sont vos axes de développement ?

Nous avons aujourd’hui une équipe constituée de quatre « feeearners » et d’une assistante, et nous pensons pouvoir compter une équipe de six à sept personnes d’ici quelques mois. Mais notre ambition n’est pas de nous inscrire dans une logique de développement par le nombre. Ce n’est pas non plus le souhait de nos clients, qui veulent des associés présents, réactifs et disponibles à tout moment, ce qui suppose des équipes resserrées.

Bien évidemment, nous avons conservé nos liens avec nos confrères étrangers avec lesquels nous travaillons d’ores et déjà, et nous comptons encore développer notre réseau de « Best friends ».

 

Propos recueillis par Arnaud Dumourier 


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