Le cabinet d’avocats international Ashurst a conseillé un consortium d’associations professionnelles financières mondiales, comprenant la GFMA, l’ASIFMA, la SIFMA, l’AFME, la FIA, l’IIF, l’ISDA, la FSF, la BPI, la GBBC et la GDF, dans le cadre de leur rapport exhaustif sur la technologie des registres distribués (DLT), intitulé « L’impact de la DLT sur les marchés de capitaux ». Ashurst a également assisté ces associations dans la rédaction d’une lettre adressée au Comité de Bâle sur le contrôle bancaire (BCBS), appelant à une pause et à une réévaluation de la norme sur l’exposition aux crypto-actifs (SCO60).
L’équipe mondiale et pluridisciplinaire d’Ashurst a fourni des conseils sur le droit financier et réglementaire existant et à venir en matière de DLT, couvrant le Royaume-Uni, l’Union européenne, Hong Kong, le Japon et Singapour.
L’équipe était dirigée par Etay Katz (Londres), associé et responsable des actifs numériques, Hubert Blanc-Jouvan (Paris), associé, assisté de Francesco Assi (Paris), collaborateur senior, Ben Hammond (Hong Kong), associé, Patrick Phua (Singapour), associé, et Kensuke Inoue (Tokyo), associé. Ils étaient soutenus par un groupe inter-juridictionnel issu du réseau mondial du cabinet.
L’équipe Ashurst a travaillé aux côtés de Gowling WLG (Adam Gareston), qui conseillait sur le droit canadien, et de Sullivan & Cromwell, qui intervenait sur les questions de droit américain.