Desfilis a conseillé l’actionnaire majoritaire de Coutot-Roehrig, leader de la généalogie successorale, dans le cadre de l'entrée à son capital de CAPZA, acteur de référence de l’investissement privé dans les PME/ETI, aux côtés de Bpifrance, en tant qu'actionnaire minoritaire.

Fondé en 1894, Coutot-Roehrig a pour activité principale la recherche d’héritiers dans le cadre de successions, un métier d’enquêteur « au long cours » (de quelques mois à quelques années, en France et dans le monde). Fort de plus de 120 ans d’expérience, le groupe Coutot-Roehrig possède l’une des plus grandes bases privées de données numérisées au monde. Ses ressources apportent aux 285 collaborateurs du groupe (généalogistes et juristes) une réactivité et une efficacité reconnues à l’international. Grâce à un réseau international de correspondants, allié à une forte présence mondiale, Coutot-Roehrig est le leader européen dans la recherche d’héritiers, avec un chiffre d’affaires de plus de 50 M€.

CAPZA investit dans la société en capital et mezzanine et s’engage aux côtés de Guillaume Roehrig, PDG du groupe, qui reste l’actionnaire majoritaire. Cet investissement a pour objectif d’accompagner la croissance du groupe, organique comme externe, et de confirmer son statut de leader mondial sur son secteur.

Le cabinet Desfilis est intervenu auprès de Coutot-Roehrig et de son fondateur, avec une équipe pluridisciplinaire composée de Guillaume Giuliani, associé, Marie-Victoire James, counsel, Yann Fouquet-Michel et Eléonore Coquerel, collaborateurs, pour les aspects corporate, de David Malamed, associé, et Jonathan Devillard, collaborateur, pour les aspects de financement et de Frédéric Bosc, associé, sur la structuration fiscale.

CAPZA et Bpifrance étaient conseillés par Hoche Société d’Avocats, avec Grine Larheche, associé, Audrey Szultz, et Tassadit Cherifi, collaboratrices, pour la partie corporate, Christophe Bornes, counsel, pour la partie financement et Eric Quentin, associé, et Regis Peyronnet, collaborateur, pour la partie fiscale.

Les banques étaient conseillées par Herbert Smith Freehills, avec Laure Bonin, associée.