Le premier Comité national des énergies renouvelables en mer (CNEM) s’est réuni et a défini trois grandes priorités : l’éolien en mer posé, l’hydrolien, l’éolien en mer flottant.
Le 6 novembre 2013, le ministre de l’Ecologie, Philippe Martin, a réuni le premier Comité national des énergies renouvelables en mer (CNEM).
Cette nouvelle instance de dialogue et d’échanges entre les acteurs (administrations, industriels et énergéticiens, associations environnementales, organisations professionnelles ainsi que collectivités locales) se réunira annuellement et veillera au développement des énergies renouvelables en mer ainsi qu’à la diversification du mix électrique dans le cadre de la transition énergétique.
Le CNEM s’attachera à accompagner les acteurs industriels pour concrétiser les opportunités ouvertes pour la France en termes de développement industriel et de croissance économique.
Trois grandes priorités ont été définies pour le développement des énergies renouvelables en mer dans les mois à venir :
- éolien en mer posé : le ministre a annoncé le lancement d’une feuille de route pour mener une réflexion sur l’architecture de deux appels d’offres qui ont été lancées afin d’optimiser les développements futurs ;
- hydrolien : l’appel à manifestation d’intérêt pour les fermes pilotes hydroliennes est ouvert du 1er octobre 2013 au 25 avril 2014 (pour plus d’informations, voir la page "Appel à Manifestations d'Intérêt - Fermes pilote hydroliennes" sur le site internet de l’Ademe) ;
- éolien en mer flottant : le ministre a lancé une feuille de route qui a pour objectif de soutenir le développement de cette technologie pour aller vers un déploiement pré-commercial à moyen terme. Elle commence par l’étude du potentiel et de la ressource, avec la mise en ligne mi-novembre, d’une demande d’information publiée sur le site du ministère.