Dans un arrêt du 17 décembre 2007, la cour d'appel de Douai l'a déboutée de sa demande, estimant que les éléments tant intrinsèques qu'extrinsèques du document permettaient d'affirmer que sa date de rédaction était postérieure au 7 juillet 1958, mais qu'aucun élément de l'écrit ne permettait de confirmer qu'il avait été rédigé avant le départ de M. Z. du domicile conjugal
La Cour de cassation rejette le pourvoi de Mme Z., le 8 avril 2009. La Haute juridiction judiciaire considère que c'est à bon droit que la cour d'appel en a déduit que la période de la rédaction du document ne pouvant être précisément délimitée, il ne pouvait être assimilé à un écrit fait sous forme testamentaire.
© LegalNews 2017 - Stéphanie BaertAbonné(e) à Legalnews ? Accédez directement à tous les compléments
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