Le Monde du Droit a interrogé Lucas Leroux quant à sa cooptation en tant qu'associé au sein du cabinet Homère.
Selon vous, qu'est-ce qui a présidé à votre cooptation ?
A mon arrivée lors de la création du cabinet, j’ai tout de suite adhéré au modèle Homère, impulsé par Sébastien Robineau et je me suis investi sans compter dans ce projet.
Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?
J’ai suivi un parcours universitaire classique en droit des affaires qui m’a d’abord amené à travailler au sein de grosses structures, que ça soit en entreprises ou en cabinets d’avocats. Ma volonté était pourtant de poursuivre au sein d’un cabinet à taille humaine, mais structuré et doté des moyens matériels et humains, à la hauteur de ses ambitions.
Qui a le plus influencé votre carrière ?
Sans hésiter Sébastien Robineau. Parfaitement à l’aise dans les attributions qui étaient les miennes, j’ai pu donner le meilleur de moi-même. Il a su me donner très tôt ma chance, lors de la création du cabinet, en m’intégrant dans son projet.
Quel est votre meilleur souvenir dans votre carrière ?
Ma carrière est encore à construire mais je garde un souvenir intense d’une renégociation contractuelle houleuse, qui, si elle n’avait pas abouti, aurait conduit à la fermeture immédiate d’une usine et le chômage technique de tous ses salariés. Après des mois de négociation, la signature a finalement été obtenue quelques heures avant l’arrivée du terme du contrat en cours.
Quels sont vos domaines de compétences ?
Le droit des affaires, dans quasiment toutes ses composantes même si la porte d’entrée reste souvent le droit des sociétés. L’objectif est de pouvoir conseiller et assister nos clients dans toutes les épreuves de la vie de leur entreprise, tant en conseil qu’en contentieux.
Par ailleurs, j’ai un diplôme en droit du sport. Je suis en charge aujourd’hui du développement de cette pratique chez Homère. Le droit du sport est une matière transversale et donc complémentaire avec l’activité du pôle droit des affaires.
Quelles sont, selon vous, les actualités marquantes de ces dernières semaines dans ces secteurs d'activité ?
Si je me limite au droit du sport, la création d’un contrat à durée déterminée, spécifique au sport professionnel, est une évolution importante, qui était attendue depuis de longues années.
Qui conseillez-vous ?
Nos clients sont exclusivement des entreprises, de toutes tailles et de tous secteurs d’activité. Il n’y a pas de client type même si j’affectionne particulièrement travailler auprès des entrepreneurs. Ils ont toujours plein de projets en tête et l’avocat joue alors pleinement son rôle de conseil et d’accompagnateur.
Depuis plusieurs mois j’accompagne une société en pleine expansion dans le secteur de la téléphonie mobile. J’interviens sur l’ensemble des problématiques qu’elle rencontre et notamment dans le cadre de leur troisième levée de fonds.
Propos recueillis par Arnaud Dumourier (@adumourier)
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