CEDH : critères pour la réintégration dans la nationalité française

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Le droit français ne garantit pas aux étrangers un droit inconditionnel à l’obtention de la nationalité française. Au contraire, il subordonne celle-ci au loyalisme des postulants tout en leur offrant des garanties contre l’arbitraire.

L’affaire concerne le refus des autorités de réintégrer le requérant dans la nationalité française. Dans un arrêt du 6 juillet 2017, la Cour européenne des droits de l'Homme observe que le droit français ne garantit pas aux étrangers un droit inconditionnel à l’obtention de la nationalité française. Au contraire, il subordonne celle-ci au loyalisme des postulants tel qu’évalué par les autorités, tout en leur offrant des garanties contre l’arbitraire en obligeant les autorités à motiver leurs décisions de refus et en donnant aux personnes déboutées la (...)

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