Fed Légal, cabinet de recrutement spécialisé dans les métiers juridiques et fiscaux publie son baromètre 2015 des motifs d’embauche. Ce baromètre englobe l’ensemble des missions confiées à Fed Légal en 2015 (hors cabinets d’avocats). Il renseigne ainsi sur le comportement des entreprises en matière d’emploi en 2015, comparativement à 2014.
Près de 60 % des recrutements ont été réalisés en CDI
En 2015 les directions juridiques et fiscales ont principalement recruté en CDI (59,75 %). Représentant déjà en 2014 plus de la moitié des recrutements (53,5 %), le CDI fait un bon de plus de 6 points en 2015. Ce bon s’effectue au détriment de l’intérim et du CDD qui se positionnent tous deux aux alentours des 20 %, en baisse par rapport à 2014 (autour des 23 %). Quasiment à parts égales, les entreprises embauchent en CDI d’abord pour remplacer un collaborateur (30,75 %) puis pour créer un poste (29 %). Pour faire face à un pic d’activité, les directions juridiques et fiscales recourent à l’intérim (10,5 %) plutôt qu’au CDD (7 %).
Plus de la moitié des embauches sont motivées par la nécessité de remplacer un collaborateur
Tous contrats confondus, le remplacement constitue le premier motif d’embauche (53,5%). Ce chiffre marque une baisse importante par rapport à 2014 avec près de 60 % des recrutements motivés pour remplacer un collaborateur. La création de postes arrive en deuxième position (29 %) des motifs d’embauche en 2015 avant l’accroissement d’activité (17,5 %).
Ventilation des motifs d’embauche selon les types de contrats de recrutement confiés à Fed Légal en 2015
« 2015 a confirmé la reprise que nous avions ressentie dès 2014 » analyse Ian de BONDT, Directeur de Fed Légal. « Les entreprises ont clairement remis en marche leur process d’embauche en CDI, avec en conséquence un effet de vase communicant qui a fait reculer le marché de l’intérim. En cabinet d’avocats comme en entreprise, même si le droit social a conservé une place importante dans nos recrutements, il y a eu clairement un retour en force des pratiques transactionnelles : M&A, private equity, financement, capital markets, immobilier transactionnel, corporate tax », conclut-il.
Directions juridiques et fiscales : quels types de contrats et quels motifs d’embauche en 2015 ? Paris, le 3 février 2016 --- Fed Légal, cabinet de recrutement spécialisé dans les métiers juridiques et fiscaux publie son baromètre 2015 des motifs d’embauche. Ce baromètre englobe l’ensemble des missions confiées à Fed Légal en 2015 (hors cabinets d’avocats). Il renseigne ainsi sur le comportement des entreprises en matière d’emploi en 2015, comparativement à 2014. Près de 60 % des recrutements ont été réalisés en CDI En 2015 les directions juridiques et fiscales ont principalement recruté en CDI (59,75 %). Représentant déjà en 2014 plus de la moitié des recrutements (53,5 %), le CDI fait un bon de plus de 6 points en 2015. Ce bon s’effectue au détriment de l’intérim et du CDD qui se positionnent tous deux aux alentours des 20 %, en baisse par rapport à 2014 (autour des 23 %). Quasiment à parts égales, les entreprises embauchent en CDI d’abord pour remplacer un collaborateur (30,75 %) puis pour créer un poste (29 %). Pour faire face à un pic d’activité, les directions juridiques et fiscales recourent à l’intérim (10,5 %) plutôt qu’au CDD (7 %). Plus de la moitié des embauches sont motivées par la nécessité de remplacer un collaborateur Tous contrats confondus, le remplacement constitue le premier motif d’embauche (53,5%). Ce chiffre marque une baisse importante par rapport à 2014 avec près de 60 % des recrutements motivés pour remplacer un collaborateur. La création de postes arrive en deuxième position (29 %) des motifs d’embauche en 2015 avant l’accroissement d’activité (17,5 %). Ventilation des motifs d’embauche selon les types de contrats de recrutement confiés à Fed Légal en 2015 « 2015 a confirmé la reprise que nous avions ressentie dès 2014 » analyse Ian de BONDT, Directeur de Fed Légal. « Les entreprises ont clairement remis en marche leur process d’embauche en CDI, avec en conséquence un effet de vase communicant qui a fait reculer le marché de l’intérim. En cabinet d’avocats comme en entreprise, même si le droit social a conservé une place importante dans nos recrutements, il y a eu clairement un retour en force des pratiques transactionnelles : M&A, private equity, financement, capital markets, immobilier transactionnel, corporate tax », conclut-il.