Le cabinet d’avocats d’affaires international Baker & McKenzie annonce un chiffre d’affaires mondial de 2, 313 milliards de dollars, soit une progression de 2,1% pour l’année fiscale 2012 clôturée le 30 juin.
Cette croissance illustre la robustesse du modèle de Baker & McKenzie. La répartition équilibrée des ressources permet de traverser un contexte économique incertain : le cabinet dispose de l'un des tout premiers réseaux au monde et couvre une riche palette de pratiques du droit. Ce sont des atouts solides pour accompagner des clients locaux et internationaux dans la durée. La zone Europe, Moyen-Orient et Afrique génère 38% des revenus du cabinet. L’Amérique du Sud et l'Amérique du Nord cumulent 34% et l’Asie 28%. L'Asie et l'Amérique Latine ont connu une croissance à 2 chiffres alors que les régions Amérique du Nord, Europe et Afrique ont connu une croissance plus faible.
La demande des clients a été particulièrement forte sur les problématiques de fusions et acquisitions, réorganisations d’entreprises, planification fiscale et corporate compliance. Cette année fiscale 2012 a été marquée par de nombreux investissements, notamment pour recruter et développer des talents (de 3800 avocats dans le monde à 4 000) et ouvrir de nouveaux bureaux. Baker & McKenzie a 3 nouvelles implantations dans des marchés stratégiques : en Turquie, en Afrique du Sud et au Maroc. Baker & McKenzie compte désormais 71 bureaux dans 44 pays.
"Le modèle Baker & McKenzie a fait ses preuves et nous permet de continuer à croître. La diversité de nos pratiques, notre réseau et notre capacité à mobiliser des équipes selon les besoins des clients sont des atouts solides dans le contexte économique actuel. Les ouvertures récentes des bureaux de Casablanca et d'Istanbul nous permettent d'accompagner nos clients sur des marchés porteurs." explique Eric Lasry, Managing Partner du bureau de Baker & McKenzie à Paris.