Faisant suite à différentes déclarations de l'Etat français depuis juillet 2002, le 4 décembre 2002, l’État français a publié l'annonce d’un projet d’avance d’actionnaire qu’il envisageait au profit de France Télécom (FT). Ce projet consistait en l’ouverture d’une ligne de crédit de 9 milliards d’euros sous la forme d’un contrat d’avance, dont l’offre a été envoyée à FT le 20 décembre 2002. L’offre de contrat n’a pas été acceptée par FT ni été exécutée. Par décision du 2 août 2004, la Commission européenne a conclu que l’avance d’actionnaire octroyée par la France à FT, placée dans le contexte des déclarations depuis juillet 2002, constituait une aide d’État incompatible avec le droit de l’Union. Le gouvernement français, France Télécom, Bouygues et (...)
Décision du Tribunal de l'Union européenne relative aux aides accordées à France-Télécom
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