Fasken Martineau, cabinet d'avocats chef de file à l'échelle internationale en droit des affaires et en litige, a annoncé aujourd'hui qu'il figure au nombre des partenaires stratégiques du secteur privé de la University of British Columbia (la "UBC") et de la Simon Fraser University (la « SFU ») dans le cadre de leur proposition visant à accueillir et à exploiter le nouvel Institut canadien international pour les industries extractives et le développement (l' "Institut") à Vancouver. La proposition soumise par la coalition UBC-SFU a été retenue.

Le vendredi 23 novembre 2012, l'honorable Julian Fantino, ministre de la Coopération internationale, a annoncé que la coalition UBC-SFU a été sélectionnée pour accueillir et exploiter le nouvel Institut. Le gouvernement du Canada, par l'intermédiaire de l'Agence canadienne de développement international (l' "ACDI"), contribuera jusqu'à 25 M$ sur une période de cinq ans pour la mise sur pied de l'Institut et le financement de ses frais d'exploitation initiaux.

"Nous sommes très fiers d'avoir participé à cette proposition gagnante et nous sommes convaincus que l'alliance UBC-SFU, appuyée de partenaires stratégiques comme Fasken Martineau, servira d'assise solide à l'Institut", a déclaré Kevin O'Callaghan, co-chef du groupe Droit de la responsabilité sociale d'entreprise de Fasken Martineau.

"Vancouver est un excellent choix comme siège pour l'Institut, compte tenu de la haute concentration d'expertise sur le plan des mines et de l'extraction qui s'y trouve, et de son excellente réputation internationale au chapitre de la gestion de l'exploitation des ressources naturelles", a ajouté Will Westeringh, l'associé directeur du bureau de Vancouver de Fasken Martineau.

Les membres du groupe Droit de la responsabilité sociale d'entreprise de Fasken Martineau ont accumulé une expérience d'envergure relativement aux aspects juridiques et pratiques du développement durable des ressources partout dans le monde. Leur vaste expertise dans ce domaine couvre les relations avec les gouvernements, les évaluations environnementales, les relations avec les collectivités locales et les communautés autochtones, et l'engagement social et communautaire. Cette expertise cadre parfaitement avec la raison d'être de l'Institut, telle que décrite par le ministre Fantino : "Cet institut aidera non seulement les pays en développement à tirer profit de leurs ressources naturelles, mais aussi les entreprises canadiennes à bénéficier d'une réglementation juste, transparente et prévisible dans le secteur de l'extraction".