Le cabinet d’avocats Olswang France LLP a conseillé la banque israélo-anglaise LEUMI dans la mise en place d’un financement permettant la réalisation du film d’animation « Minuscule - la vallée des fourmis perdues »  d’un budget total de 6,7 millions d’euros. Ce film,  sorti en salle le 29 janvier dernier, est produit par la société FUTIRIKON, spécialisée dans les films d’animations et documentaires.

Cette opération de financement s’ajoute à la liste d’expériences similaires de l’équipe Financement d’Olswang, dirigée par Stéphan Alamowitch, associé, et assistée de Yelena Vodjevic, counsel, et Aurélien Sevin. Cette équipe, conseil de Bank Leumi sur le financement de Minuscule, est aussi intervenue aux côtés :
- de producteurs de films, telle la FIFA, producteur majoritaire d’un film sur la coupe du monde de football (€25m) ;

- de fonds d’investissements tel le fonds anglo-luxembourgeois Anton Capital qui a accordé en 2012 à CANAL + un « slate financing » de €150m (financements garantis de plusieurs films) ou encore le fonds français Visvires qui vient de participer au financement de la série tirée du film « Taxi » par EuropaCorp TV ;

- de prestataires de service du secteur audiovisuel tel que OLLFI qui grâce à des investisseurs privés va bientôt proposer une plateforme de financement de films.

« Olswang dispose d’une réelle pratique expérimentée du financement audiovisuel et des opérations dans ce secteur. Nous l'avons transformée en un vrai vecteur de développement chez OLSWANG, en nous appuyant sur la renommée du cabinet en la matière notamment à Londres et à Berlin » indique Stephan Alamowitch.

En complément, le cabinet parisien accompagne également ses associés anglais, très réputés en ce domaine, dans leurs montages ayant des implications françaises, et ce pour des sociétés audiovisuelles telles que Warner et E1.
Au-delà de l'audiovisuel, Olswang conseille également des groupes de presse ou des financiers intéressés par le secteur de la presse et des médias en général, comme le fonds anglais Miroma. Le cabinet a aussi représenté la presse française dans la création d'un fonds d'investissement en partenariat avec Google.