Cette première émission publique d'obligations hybrides permet à la BOAD de dépasser son objectif de 600 millions de dollars américains d’obligations hybrides et d’atteindre 95 % de son objectif d’augmentation de capital de renforcement de ses fonds propres dans le cadre du Plan Stratégique Djoliba. Les fonds levés seront alloués au financement ou au refinancement de projets verts et sociaux éligibles dans le cadre des obligations de développement durable de la BOAD, renforçant ainsi l’engagement de la Banque en faveur de l’action climatique et du progrès social dans la région de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA).

Cette opération a suscité un vif intérêt auprès d’investisseurs variés, avec un carnet d’ordres atteignant un pic de 1,9 milliard de dollars américains, soit un taux de sursouscription de 3,8 fois, supérieur au montant initialement prévu.

Créée en 1973, la BOAD est l’institution commune de financement du développement des États de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA).

White & Case avait également accompagné les banques dans le cadre des émissions obligataires de la BOAD en 2016, 2017, 2019 et 2021.

L’équipe White & Case constituée pour cette opération était conduite à Paris par Olga Fedosova et Max Turner, associés, et comptait Grégoire Karila, associé, Charles Linel, Charlotte Wright, Romain Bruno et Eva Brunelli Brondex, collaborateurs en marchés de capitaux.

Les bureaux de Londres (Ingrid York) et Houston (Neil Clausen et Thor Fielland) de White & Case sont également intervenus sur l’opération.