Même non juriste, le journaliste de Valeurs actuelles ne pouvait prétendre disposer d'une base factuelle lui permettant d'écrire qu’un réalisateur avait été condamné pour "complicité de tentative de meurtre" au lieu d'"arrestation, enlèvement ou détention arbitraire".
Le 17 décembre 2019, un article publié sur le site internet du journal Valeurs actuelles a fait état de la condamnation d'un réalisateur français pour "complicité d'enlèvement, séquestration et tentative de meurtre". L'intéressé a porté plainte avec constitution de partie civile à l'encontre du directeur de publication du journal pour diffamation publique envers un particulier. La cour d'appel de Paris a rejeté l'existence d'une faute civile commise par le prévenu en raison de sa bonne foi.Après avoir retenu que les (...)