Louis-François Guéret est coopté associé du cabinet Bompoint AARPI, aux côtés de Dominique Bompoint et Eric Laut.
Avocat au barreau de Paris depuis 2009, Louis-François Guéret, 35 ans, est nommé associé au sein de Bompoint.
Il exerce ses activités dans le domaine des opérations de fusions-acquisitions, en droit boursier (offres publiques, retrait de cote, prises de participations au sein de sociétés cotées) en private equity ainsi qu’en matière de réorganisation de groupes d’entreprises. Il intervient également en contentieux des affaires, en particulier dans le cadre de conflits entre actionnaires et de procédures devant l’AMF.
Il a récemment assisté Vivendi dans le cadre de sa sortie d’Ubisoft et de la reprise d’Editis, Selectirente pour les besoins de l’OPA obligatoire initiée par Tikehau ou encore le Groupe Bolloré pour la cession de sa participation dans Havas.
Avant de participer à la création du Cabinet Bompoint début 2013, il a exercé au sein du département Corporate du cabinet Linklaters à Paris. Il avait rencontré Dominique Bompoint en 2012 sur la réorganisation juridique de Paris Orléans et l’offre publique de retrait consécutive.
Il est diplômé de l’Université Panthéon-Assas Paris II (master de droit des affaires) et de l’ESCP-EAP (2008).
Rappelons que le cabinet, fondé par Dominique Bompoint en février 2013, associe étroitement les pratiques contentieuse et transactionnelle du droit des affaires. L’activité transactionnelle recouvre des opérations de fusion/acquisition de sociétés françaises ou étrangères, généralement cotées en bourse et impliquant de forts enjeux économiques. L’activité contentieuse concerne essentiellement des conflits entre actionnaires, des litiges post-acquisition ou la structuration d’opérations financières ou d’accords d’actionnaires visant à mettre fin à un différend.
Le cabinet compte cinq avocats. Sa clientèle est aussi bien française qu’internationale, elle comprend essentiellement des sociétés qui se répartissent entre des groupes industriels, cotés ou non cotés en bourse, des établissements bancaires, des fonds d’investissement ou des entités du secteur public, ainsi que certains intérêts familiaux.