James Castello, associé en arbitrage international du cabinet King & Spalding, a rejoint le conseil d'administration de la Cour internationale d'arbitrage de Londres (LCIA), l'une des institutions internationales les plus réputées au monde pour la résolution des différends commerciaux.
James Castello, qui est basé au bureau de Paris de King & Spalding, a concentré sa pratique sur la résolution des différends internationaux, et notamment l'arbitrage international (à la fois commercial et d’investissement), pendant la plus grande partie de ses 28 ans de carrière juridique. Ancien membre de la Cour de la LCIA (période pendant laquelle il a siégé au comité de rédaction du Règlement d'arbitrage de la LCIA 2014), il est maintenant président du Conseil des utilisateurs européens de la LCIA.
"Je suis très honoré de rejoindre le conseil d'une telle institution et j’espère contribuer au rôle essentiel qu’elle joue pour les parties commerciales dans le monde entier", a déclaré Me Castello. "Depuis huit ans que je suis impliqué dans la LCIA, je suis impressionné par trois choses : l'excellence des avocats qui dirigent l'institution ; son engagement au service de la qualité et de l'efficacité ; et sa volonté d'innover pour mieux servir ses utilisateurs. La LCIA a été la première à publier les décisions de récusation des arbitres pour rendre le processus plus transparent. Elle a adopté des lignes directrices sur la conduite des conseils afin que les représentants des parties qui appartiennent à différents systèmes juridiques suivent un ensemble commun de normes éthiques. Et elle a rendu publiques des données détaillées – et encourageantes – sur les coûts et la durée des arbitrages de la LCIA afin que les utilisateurs sachent à quoi s’attendre."
Depuis 2001, James Castello siège également en tant que délégué des États-Unis au Groupe de travail arbitrage de la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (CNUDCI), participant activement à la révision ou à la rédaction des instruments d'arbitrage de la CNUDCI, y compris la Loi type (2006), le Règlement d'arbitrage (2010), le nouveau Règlement sur la transparence dans l’arbitrage entre investisseurs et États (2013) et la Convention de Maurice sur la transparence (2014).