Interrogée par Le Monde du Droit, Christiane Féral-Schuhl indique que "ce n'est pas une décision facile à prendre, c'est une décision importante mais qui n'est qu'une suspension donc je pense qu'il ne faut pas le vivre comme une volonté de sortir du CNB mais comme une alerte forte dans un contexte difficile dans lequel nous sommes en train de voter l'un des thèmes majeurs de cette mandature à savoir la réforme de la gouvernance". Elle a également affirmé que la création d'une "commission est un élément déterminant de la reprise du dialogue" avec le CNB.