Conditions de la réticence ou de la fausse déclaration intentionnelle de l'assuré

Assurances
Outils
TAILLE DU TEXTE

L'assureur ne peut se prévaloir de la réticence ou de la fausse déclaration intentionnelle de l'assuré que si celles-ci procèdent des réponses qu'il a apportées aux questions posées par l'assureur.

A la suite d'un accident de la circulation survenu le 22 octobre 2007, M. X., conducteur d'un des deux véhicules impliqués, a été poursuivi devant le tribunal correctionnel du chef de blessures involontaires aggravées. Les parties civiles ont alors mis en cause la société A., assureur de M. X., laquelle a opposé la nullité du contrat pour fausse déclaration intentionnelle. La cour d'appel d'Aix-en-Provence, dans un arrêt du 21 juin 2012, a prononcé la nullité du contrat d'assurance, au motif que M. X. avait signé en 2006 la clause du contrat stipulant qu'il n'a pas fait l'objet au cours des trente-huit (...)

L'article complet est réservé aux abonnés

Vous êtes abonné(e) à LegalNews ? Identifiez-vous
Je m'identifie
Pour découvrir nos formules d'abonnement,
Je m'abonne