Pourquoi avez-vous décidé de créer votre cabinet spécialisé en droit fiscal ?

A notre sens, le droit fiscal, du fait de sa complexité, est une matière qui se prête facilement à l’exercice au sein d’une structure dédiée. Cette dernière offre alors une force de frappe (mutualisation des connaissances et des expériences) plus importante au profit de nos clients par rapport à un exercice individuel de la fiscalité.

Quel est votre positionnement sur le marché ?

Notre cabinet est un "pure player" en droit fiscal, ce qui nous permet d’accompagner tant nos clients personnes physiques, groupes industriels, fonds d’investissement que les cabinets d’avocats de premier plan n’ayant pas d’avocat spécialisé en droit fiscal.

Notre pratique recouvre tous les aspects de la fiscalité en raison de l’interdépendance des impôts et autres taxes entre eux. Il n’y a pas un interlocuteur par impôt – l’administration fiscale est organisée de la sorte avec l’efficacité que l’on connaît – nous non.

Aussi, il est pour nous fondamental que tous les membres, présents et futurs, de notre cabinet soit à même d’aborder toutes les questions fiscales, et ce même si chacun aura des dominantes sur tel ou tel sujet.

Quels sont vos axes de développement ?

Notre développement est basé sur les deux maîtres mots-suivants : flexibilité et efficacité.

Nous souhaitons mettre en place une équipe de personnes resserrée, pour une partie recrutée à l’extérieur (nous envisageons à moyen terme l’arrivée de deux associés spécialisés en fiscalité avec qui nous sommes déjà en discussion), et pour la partie principale, associée en interne.

Propos recueillis par Arnaud Dumourier